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Commentaires (3)
pierre 27 août 2024 à 17:29

Je publie le commentaire précédent en mon nom propre
Vous pouvez demandez le verbatim de mars 2023 à l’anses ou bien je peux vous le fournir.
et ou vérifier tous mes dires en faisant vous-mêmes l’expériences avec deux lots de souris mis pour chacun dans une cage de faraday avec une exposition de faible puissance pour éliminer cette variable. Une cage avec un lot de souris qui subissent des ondes lisses (sans modulation) et une autre cage avec des souris exposés à des ondes numériques pulsées et donc pour cela il faut que le téléphone envoie des transferts de données en permanence ou en boucle. Vous analysez les bio marqueurs de stress habituels.
Cela ne demande pas un gros budget pour cette simple étude d’orientation. La conclusion sera danger!

Pierre 27 août 2024 à 17:03

Pas de danger pour la santé!
Nous savons votre orientation mais nous allons quand même vous informer de la réalité et nous allons voir si vous allez publier ce commentaire en toute transparence.
Pour être au comité de dialogue de l’anses je peux préciser vos écrits de votre article
Premièrement, toujours la sémantique tordue de l’anses « Peu probable de nouveau risque » ne veut pas dire que les autres générations ne sont pas sans danger, ainsi l’anses se couvre.
De plus une exposition ne signifie pas nocivité. Un agent exogène peu être peu exposé sur la population et être très nocif. Donc mesurer une exposition ne veut pas dire grand chose, même si cela peut orienter en première instance d’analyse. Des articles comme le votre font beaucoup d’enfumage avec les normes de puissance. Si généralement plus on est exposé alors plus on risque est un adage relativement vrai notamment pour la puissance électromagnétique, mais la vrai question est : à quoi sommes nous exposés?
Vous pouvez avoir absorbé beaucoup d’aliments et avoir une indigestion mais la vrai question est de savoir quel est l’aiment que l’on a absorbé? Des fruits frais, des frites (analogique) ou du poison (ondes numériques pulsées)?
C’est pourquoi le DAS (Débit d’Absorption Spécifique) est un indicateur relevant de la supercherie pour les ondes numériques pulsées. (Mieux vaut le PAPR ou tenir compte du débit de données et du nombre de sous porteuses dont l’intensité se combinent accroissant la BRUTALITE des variations de champs)
Les caractéristiques des ondes numériques est la codification avec le 0 et le 1, le tout ou rien qui se traduit en modulation d’intensité qui évolue par palier. Elle est là la véritable nocivité : l’effet pulsé, l’effet mitraillette des burst.
Les propriétés de maxwell reconnues universellement dit que toute variation brusque des CEM engendre des courants induits dans les non diélectrique (notre corps). C’est pourquoi les ondes numériques mitraillettes engendrent des inductions : courants et séquestration des ions de nos réactions biochimiques. Cette séquestration à hautes fréquences empêche la liberté des réactions d’équilibre des concentrations biochimiques pour contrer les agressions extérieures. L’homéostasie ne pouvant plus se faire nous avons des inflammations oxydations etc jusqu’à devenir malade voire électro-hypersensible par analogie aux grands brulés.
L’anses dans le verbatim du comité de dialogue de mars 2023, sous nos questions, a fini par avoué que cela fait depuis 20 ans que ses études avaient un protocole biaisé car les chercheurs utilisaient des ondes lisses (iso pulsées) pour exposer leurs souris et pourtant concluaient pour des ondes numériques pulsés. Scandale sanitaire déjà présent qui va exploser. Un grand merci à vous d’entretenir l’ignorance ainsi les dégâts seront d’autant plus élevés (tout cela pour du fric!)
A tous les ignorants et/ou aux propagandistes

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