Prévention du suicide: France Télécom veut former ses 20.000 cadres
La direction de France Telecom va « renforcer la prévention contre les suicides« , en formant ses 20.000 cadres à « détecter les signaux de faiblesse psychologique« , a déclaré jeudi le DRH du groupe Olivier Barberot dans une interview au quotidien Le Parisien.
« Depuis un an, nous avons formé 6.000 managers à la détection des signaux de faiblesse psychologique dans les équipes » et « pour aller jusqu’au bout de la démarche, nous allons former nos 20.000 manageurs« , a souligné M. Barberot.
« Je suis confiant sur le fait que l’on puisse améliorer la situation« , a-t-il ajouté, en confirmant qu’il reprendra ce jeudi devant un Comité national santé hygiène, sécurité et conditions de travail l’ensemble des points annoncés lors d’une réunion le 25 août avec les syndicats du groupe.
Le nombre de suicides chez France Télécom « n’est pas en augmentation« , a-t-il affirmé, en citant deux chiffres: 28 suicides en 2000, soit 2,15 pour 10.000, et 29 en 2002, soit 2,49 pour 10.000 salariés.
Un technicien du centre d’intervention de Troyes (Aube) s’est planté un couteau dans l’abdomen mercredi (voir cet article pour plus de précision) après avoir eu confirmation que son poste était supprimé. Le suicide fin août d’un autre salarié à Lannion (Côtes d’Armor), avait amené la CFDT à dénoncer un 22ème suicide dans le groupe en 18 mois.
Les salariés de France Télécom étaient appelés jeudi à une journée d’actions dans toute la France jeudi pour dénoncer les conditions de travail et réclamer un changement des méthodes de management, pendant la tenue du CHSCT, consacré notamment au problème de la prévention du suicide.
France Télécom employait 101.009 personnes en France à la fin 2008 contre 141.061 à la fin 2002, soit 40.052 de moins, selon les rapports financiers.
Source: AFP
SUICIDES A LA MAIRIE DE PARIS.
Un suicide en juin 2010, un autre en novembre.
Les agents concernés par cette violence morale qui demandent de l’aide seraient immédiatement dirigés vers cette cellule discrimination harcèlement moral dont le docteur qui a pour mission de recevoir et d’écouter ces agents harcelés et traumatisés, s’offusque d’un comportement dépendant des situations au lieu de les comprendre. Peut-être verrons-nous un jour ce docteur mis en place par cette municipalité se plaindre de harcèlements et déposer plaintes contre les victimes qui viennent le voir. Autres remarques, ce docteur n’a aucun recul nécessaire à sa fonction puisqu’il est très attaché à cette municipalité, et donc de parti pris.
Voici la copie d’un message d’une organisation syndicale.
SILENCE,
ON MEURT !
X….. avait 39 ans. Elle était secrétaire administratif à la Mairie de Paris, et occupait un poste de rédactrice depuis plusieurs années. Agent consciencieux et dévoué, elle s’était sans difficulté adaptée à son poste et poursuivait une carrière irréprochable. Jeune femme intelligente, gaie et sensible, elle était appréciée par ses collègues. Entourée et aimée par sa famille, sa vie était paisible. Elle est devenue un enfer lorsque X….. a fait valoir ses droits à la mobilité pour enrichir sa carrière professionnelle.
X….. a obtenu une mutation. Dans son nouveau Service, elle a été la proie d’un management toxique. Certes, l’effectif y est largement insuffisant pour faire face aux demandes du public. Toutefois….
Est-il normal, dans une unité de travail, de demander aux agents leurs numéros de portables, puis de les relancer à leur domicile ? Est-il correct, par exemple, devant leurs protestations, de persister, et de leur réclamer, en sus, leurs numéros de téléphone fixe ?
Est-il normal d’user de son pouvoir hiérarchique pour demander à un agent de se déplacer, durant ses congés annuels, au petit matin pour ouvrir les portes de l’établissement, sachant, de plus, que l’agent réside loin de son lieu de travail. Un soir de novembre 2010, X….. se trouvait encore à son poste à 23h, comme en attestent ses mails. Etait-ce normal, et habituel ?
L’administration n’aurait-elle pas dû se préoccuper des pratiques de management ayant cours dans un Service caractérisé par un important turn-over ? N’y avait–elle pas d’autant plus intérêt qu’une plainte pour harcèlement moral a été déposée par un autre agent de ce Service – occupant précisément le poste de X….. un an auparavant.
X….. a craqué. Elle a été retrouvée à son domicile, un matin de novembre 2010, inanimée. Alertée par les collègues de X….. sur ce décès brutal, la CGT a demandé dès décembre à la Direction à laquelle appartenait cet agent une enquête via l’inspection hygiène et sécurité de la Ville sur les circonstances du drame. Cette enquête n’a pas été diligentée.
D’autres agents de la Mairie de Paris sont également en situation de souffrance au travail : le cas de X….. n’est pas isolé. De nombreux cas de harcèlement moral sont signalés par les organisations syndicales à la Ville. A ce jour, aucune disposition n’a été prise pour enrayer ce fléau.
Au CHS Central, un plan pluriannuel de prévention a été présenté aux organisations syndicales par Maïté Errecart. Dans ce plan la prévention des risques psycho-sociaux occupe une place importante. Voilà pour la théorie. Dans la pratique un harcèlement moral insupportable, mené par le supérieur hiérarchique direct, peut conduire un agent au suicide, sans même que la commission d’enquête CHS proposée par la CGT ne soit acceptée.
LA PRATIQUE D’UN DOUBLE LANGAGE
IRRESPONSABLE PAR LA MAIRIE
EST DEVENUE TOTALEMENT INSUPPORTABLE !!!
Pour X….., il est trop tard, elle qui aimait tant la vie, n’aura jamais 40 ans. Ses amis, sa famille, ses parents, sa nièce qu’elle chérissait tant, sont à jamais séparés d’elle.
Mais l’enquête demandée par la CGT doit avoir lieu.
La lumière doit être faite sur les circonstances de son décès, ce n’est que justice. Et la Ville doit maîtriser rapidement les pratiques managériales toxiques qui s’y développent.
La CGT ne laissera pas l’Administration Parisienne
devenir la réplique de FRANCE TELECOM ou de la Poste !
Aucune Prevention du Suicicide à la Mairie de Paris.
PROSELYTISME, SUICIDES, DISCRIMINATION, ET CONDITIONS DE TRAVAIL DE PLUS EN PLUS DEPLORABLES.
Des vérités qui dérangent certains hauts fonctionnaires de la Mairie de Paris.
Voilà ce qui se passe réellement dans certains services de la Ville, des Agents qui signalent depuis plusieurs années par des rapports, des plaintes déposées à la Police, le Prosélytisme qu’ils subissent sur le lieux et temps de travail, le harcèlement, la discrimination, les suicides, les dépressions.
Certains agents sont depuis plus d’un an en dépression, d’autres dans de très grandes détresses morales. Qu’a fait la Maire de Paris depuis ? Pourtant saisi du dossier, Qu’a fait le service de la Médiation de la Ville de Paris ? Pourtant saisi du dossier, Qu’a fait la Direction des Ressources Humaines ? Pourtant saisi du dossier, Qu’a fait cette cellule Discrimination Harcèlement ? Pourtant elle aussi saisi du dossier, Qu’a fait le service médical de ville, Là aussi saisi du dossier. RIEN, RIEN, n’a été fait depuis 2001 à part des enquêtes à charge contre ceux qui dénoncent et ce malgré la loi de protection du fonctionnaire.
Une enquête à charge a même été instruite par une Direction complice contre les victimes de ces agissements de (PROSELYTISME SUR LE LIEU ET TEMPS DE TRAVAIL).
Des faux témoignages ont été stockés dans les dossiers administratifs des victimes, ainsi que des lettres anonymes, des pétitions.
Certaines victimes vont être jugés par un conseil de discipline plus que douteux où siège des membres de ce syndicat maison parti prenante dans cette affaire. Certains agents auditionnés par cette direction ont remis en cause les témoignages apportés par les victimes au moyen de tracts diffamatoires diffusé par ce syndicat maison. ((Traitant les agents, de Gestapo et de Kommandantur)) (UN DES DELEGUES DE CE SYNDICAT MAISON PROPOSE MEME DES LOGEMENTS A CES ADHERENTS !!!
Pour se protéger du scandale. Certains petits chefs de services, et sous-directeurs n’hésitent pas à faire pression sur des agents pour leur faire écrire des faux témoignages en faveur du groupuscule appartenant à ce syndicat maison, et la SGD, complice rajoute ces fausses pièces dans les dossiers administratifs des victimes.
Un syndicat dénonce ces disfonctionnements et demande l’annulation de ce conseil, pour plusieurs motifs : (le conseil de Discipline ne peut être juge et parti, les dossiers des victimes sont parsemés de faux témoignages et de signes distinctifs ) La DRH reste très silencieuse !!!
LES NOMBREUX AGENTS VICTIMES DE HARCELEMENT, ET DE DISCRIMINATION N’ONT AUCUNE CONFIANCE au CPHD de la DRH de la MAIRIE DE PARIS…
Un agent exemplaire M.Michel A——, martyr de ce groupuscule et mis à la retraite d’office par le conseil de discipline de la Mairie de Paris, a réintégré ses fonctions par décision du Tribunal Administratif de Paris.
Les dossiers qui ont été transmis aux associations d’aides aux victimes seront bientôt diffuser sur Internet dans toutes les langues ainsi que les noms des intervenants..
Suite à cette affaire de (PROSELYTISME), des fonctionnaires sont détruits dans leur travail et dans leur vie familiale, alors même qu’une élue de cette même administration m’est en garde les Parisiennes et les Parisiens de la dangerosité de ces mouvements à caractères sectaires.
Afin de respecter les droits de chacun, toutes personnes quelque soit sa religion, ses opinions politiques, ou ses positions syndicales, doit en toute libertés pouvoir adhérés au mouvement de son choix sans subir l’absolutisme de certains de ces collègues ou de ces supérieurs hiérarchiques.
La Mairie de Paris à le devoir de protéger ces fonctionnaires victimes d’influences préjudiciables sous toutes ses formes.
Merci de bien vouloir nous communiquer vos remarques à ce sujet.
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