Les troubles en Egypte se poursuivent et les autorités utilisent une nouvelle arme pour rassembler : le SMS. Orange, via sa filiale locale Mobinil, est concerné.
Plusieurs internautes, ont publié sur internet des messages reçus, traduits par France 24 : « Les forces armées demandent aux citoyens honnêtes et loyaux de s’opposer aux traîtres et criminels », « Que tous les pères/mères/fils/filles préservent notre pays car la Nation est éternelle ».
Vodafone déclare que les autorité Égyptiennes peuvent contraindre les opérateurs Mobinil, Etisalat et Vodafone à envoyer des SMS aux Égyptiens. Le groupe britannique indique avoir protesté auprès des autorités, en qualifiant la situation d’inacceptable.
Orange est plus prudent et évoque seulement des messages dans lesquels l’armée égyptienne était identifiée expéditeur, communiquant sur des questions de sécurité des personnes, rapporte L’Express.
« France Télécom désapprouve fermement tout envoi de message à contenu politique qui irait contre les principes de neutralité inscrit dans notre rôle d’opérateur de communications » a expliqué un porte parole.
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« France Télécom désapprouve fermement tout envoi de message à contenu politique qui irait contre les principes de neutralité inscrit dans notre rôle d’opérateur de communications » a expliqué un porte parole.
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