
Les télécommunications sont suivies de près par rapport à leur empreinte carbone et les opérateurs doivent faire de nombreux efforts pour contenir ce chiffre mais tous ne sont pas logés à la même enseigne.
Vers des satellites plus verts
En effet, l’empreinte environnementale des constellations de satellite est beaucoup moins scrutée que celle des réseaux terrestres mais le BEREC – le régulateur des régulateurs des télécommunications – a décidé de se pencher dessus au travers d’un atelier qui aura lieu en septembre prochain.
Le but de cet atelier est de mieux comprendre l’impact de ces constellations en lien avec les régulateurs européens, des représentants de l’industrie, des universitaires ou encore des experts environnementaux et des organismes internationaux.
Le débat résumera les données existantes ainsi que les défis connexes d’une telle solution comme l’impact de la disponibilité des données, les mécanismes de dommages environnementaux ou encore les défis liés à la pollution lumineuse ou ceux liés aux débris spatiaux.
Le BEREC se penchera également sur l’impact de la construction et de la maintenance des infrastructures au sol comme les installations d’antennes paraboliques ou encore les centres de données. Enfin, les avancées en matière de conception de satellites durables seront présentés.
Présentation des groupes de travail du BEREC (en anglais) :