
Plusieurs raisons expliquent cet attentisme : la fin prochaine du mandat de Stéphane Richard à la tête de l’opérateur (candidat à sa propre succession) et les performances boursières du groupe.
L’Etat pousserait Orange a grossir et s’internationaliser d’avantage : la France représente encore 45% des revenus du groupe.
Chez l’opérateur, la nécessité de croitre à l’international est reconnue, mais « il y a peu d’opportunités qui soient raisonnables et créatrices de valeur ».
> L’État ne sortira pas d’Orange… pour l’instant sur BFM Business

Ils ont peut être compris les intérêts stratégiques et les dividendes…